Que d’avancées dans la connaissance des pine-cone quilts en une décennie ! Je souviens du quilt fait par LeeAnn, puis son mail me présentant Betty, notre apprivoisement mutuel… Du temps a passé depuis mon premier article présentant Betty ! Nous sommes devenues sœurs de cœur et j’admire tellement le chemin qu’elle a parcouru ! Ce que j’aime aussi, c’est comme toujours la possibilité de partir d’une technique traditionnelle pour la faire évoluer, c’est le domaine de Rachael Daisy, une superbe quilteuse inventive et si sympathique elle aussi.
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Le rêve de Betty devenu réalité
Septembre arrive, avec la reprise des activités ! Les quilts-météo 2023 montreront une grande disparité de températures entre le Nord et le Sud cet été, des fraîcheurs étonnantes et des canicules accablantes… Pour commencer cette saison de rentrée avec joie et énergie, focus sur Betty Ford-Smith, mon amie de Floride, que je connais depuis 2014. Son livre sur les Pine Cone Quilts est déjà un succès commercial aux États-Unis et il sort ces jours-ci en Europe !
Lire la suite de « Le rêve de Betty devenu réalité »Fil Rouge de l’Amitié
J’ai été embarquée dans l’aventure des Pine Cone Quilts grâce à mon amie LeeAnn. C’est elle qui m’a mise en contact avec Betty, qui cherchait à faire connaître les Pine Cones faits à la manière d’une vieille dame de 92 ans (Miss Sue), qui elle-même l’avait appris par sa grand-mère… Une longue lignée qui remonte donc à la période de l’esclavage. Aujourd’hui, au XXIe siècle, c’est son revival qui nous intéresse !
Lire la suite de « Fil Rouge de l’Amitié »Dans le Nebraska
Aux États-Unis ont été créés plusieurs musées consacrés à l’art du patchwork et arts textiles. Notre amie Betty est récemment allée dans le splendide International Quilt Museum de Lincoln, dans le Nebraska. Elle a passé des moments exceptionnels dans ce lieu, et nous en fait part avec de nombreuses photos !
Lire la suite de « Dans le Nebraska »Le costume de Miss Lumbee
Les Pine cone quilts se sont invités dans ma vie en 2014. J’avais une grande amie américaine, j’en ai gagné une seconde ! LeeAnn, mon amie du Nord-Ouest des États-Unis, avait reçu un mail d’une certaine Betty, à la suite de son quilt en Pine Cones terminé en septembre 2014 et montré sur son blog Nifty Quilts. LeeAnn a bien compris qu’il s’agissait d’informations historiques intéressantes, mais avec son travail à plein temps, elle n’avait pas le temps de les publier elle-même. A tout hasard, elle m’a transféré les informations… et voilà comment je suis entrée en contact avec celle qui est devenue mon autre grande amie américaine, Betty, en novembre 2014.
Lire la suite de « Le costume de Miss Lumbee »Rencontres en Corrèze
Martine m’a invitée à partager une journée avec des quilteuses de son entourage ; ce fut l’occasion de visiter une toute petite partie de la Corrèze que je connais bien trop peu.
En rencontrant plusieurs personnes du village de Martine, j’ai eu la douce impression de vivre dans la seconde partie d’un roman lu l’année dernière.
Lire la suite de « Rencontres en Corrèze »Violet, lilas, mauve, pourpre, parme, lavande ou améthyste…
Tissons ensemble
Joie et Lumière pour 2022 !
Que retenir de 2021 ? Assurément des constellations de belles étoiles ont facilité les expositions de La Ruche à Lacaze, du collectif Quilts Météo au Carrefour Européen du Patchwork et une sélection des deux au Salon des Tendances Créatives de Toulouse. De bien Belles Étoiles ont aussi brillé au stage d’Arcachon et à la JA FP16 à Ligné, enfin les Abeilles de la Ruche et tant d’amies quilteuses illuminent ma vie… Pour le reste, les dissonances de la vie n’épargnent personne, chacun le sait. Ce sont les circonstances pour apprécier ce que nous avons, et continuer son chemin⭐.
Les Couleurs pour l’Année 2022
2022 commence d’une manière incertaine, dominée encore par le Covid19 qu’on maîtrisera… ou pas. Or, les faiseurs de tendances ont choisi à l’unisson deux nuances de violet comme Couleur de l’Année, : est-ce parce que cette couleur fait naître tant d’émotions contradictoires et incertaines ? Alors mon premier article de l’année, comme les années précédentes, est consacré à cette couleur divulguée en décembre dernier.
Le violet est la couleur énigmatique par excellence, mélange de rouge et de bleu, de chaud et de froid, de danger et d’innocence, d’activité et de passivité, de pouvoir et de soumission, de colère et de calme, d’excitation et de constance. Bref, tout peut arriver avec le violet 💜.
La couleur de l’année n’est pas choisie au hasard pour créer une mode ; elle est la synthèse de nombreux indices trouvés les mois précédents dans les choix de couleurs chez les stars, dans les rues, dans les publicités de divers pays.
J’ai vu dans des sorties en librairie, juste avant l’annonce des Couleurs 2022, la confirmation que c’était « dans l’air du temps » :
S’entourer de violet dévoile probablement une envie de spiritualité et de recherche des énergies invisibles. Dans la médecine ayurvédique, l’indigo, bleu nuancé de violet, représente l’intuition, l’imagination, le 3e œil (6e chakra). Le chakra violet pourpre, le 7e et dernier, se trouve juste au sommet de la tête ; équilibré, il favorise la sagesse spirituelle et une connexion avec l’univers. Telle est l’ampleur spirituelle de cette couleur !
Violet, lilas, mauve, pourpre, parme, lavande ou améthyste…
Lors du lancement de cette couleur sur les réseaux sociaux, j’ai lu autant de beurk que de youpi. Pas de demi-mesure ! Commençons par quelques peintures de Paul Klee, pour entrer dans l’ambiance :
Les touches jaunes ou blanches sont omniprésentes dans ces tableaux pour accompagner les nuances de violet, pourpre, indigo…
Pour tenter de convaincre les réticentes que le violet peut être une couleur gaie et intéressante en patchwork aussi, je vous invite à une petite galerie de quilts de Jill Fisher que j’admire beaucoup. Sa couleur préférée étant le violet dans toutes ses nuances, il ne m’a pas été difficile de trouver de très beaux quilts à vous montrer ! On peut les voir sur son blog https://pieladyquilts.blogspot.com/ mais elle nourrit bien plus régulièrement son compte instagram @pieladyquilts.
Cela peut vous réconcilier avec cette gamme de couleurs ! J’avoue qu’il faut de la maîtrise pour qu’un quilt violet soit réussi – Jill Fisher y arrive formidablement bien. Si vous êtes sur Instagram, suivez Jill pour voir comment elle interprétera le violet cette année… et qui sait, vous lancer ?
Il faut faire ce qu’on ne croit pas pouvoir faire.
Baruch Spinoza
Grâce à la violette de Toulouse et aussi la symbolique spirituelle de cette couleur, Betty (la Reine des Pine cone quilts) m’associe au violet – pour mon plus grand plaisir ! Cette famille de couleurs est volontiers appelée purple en anglais :
La Ruche des Quilteuses aux couleurs de l’Année
Cela devient une tradition, Kristine prépare une bannière pour janvier, souvent avec une des couleurs de l’année :
Bee Kristine nous offre cette année non pas une, mais deux bannières !
Laquelle préférez-vous ? Difficile, n’est-ce pas !! En raison de mon lien indéfectible avec Betty, je choisis la seconde 💜 ! Elle nous accompagnera plusieurs semaines en tête de blog.
Le secret du violet épanoui réside dans son accompagnement. Il révèle sa beauté avec du blanc et sa lumière pure, du turquoise, du rose, certains verts, et il est l’écrin parfait du jaune ! Plein de sagesse, le violet est le faire-valoir de l’illumination. Illuminons donc 2022 de belles couleurs et de perspectives joyeuses malgré tout, tissons 2022 de joies et de lumière 💜⭐💜🌞💜
Nous allons ensemble nous changer les idées avec des articles qui dépaysent… et toujours un fil conducteur textile bien sûr !
N’attendons pas ! Dès mardi, nous emprunterons un chemin mythique avec Lucie… Le premier jalon d’une belle année à passer ensemble !
Katell
Si vous voulez que la vie vous sourie,
apportez-lui d’abord votre bonne humeur.
Baruch Spinoza
Coup de cœur pour Alabama
Dans ma vie d’adolescente, l’album Harvest de Neil Young fit partie de ceux qui tournaient en boucle, rappelant pendant l’année scolaire les vacances en Bretagne, les feux de camps dans les dunes et les copains qui jouaient de la guitare…
Si cet album de 1972 est un bijou de folk-rock, la chanson Alabama me bouleversait par ses sons de guitares et des impressions de souffrances venues de je ne sais où. Je sais à présent qu’elle est une critique de l’intolérance et du racisme encore ancrés dans les États du Sud des USA, plus de cent ans après la Guerre Civile (ou Guerre de Sécession 1861-1865). Ce Vieux-Sud est pays de violences et celle de certains hommes blancs est inimaginable : encore en 1972 le Ku-Klux-Klan sévissait sporadiquement, même après les progrès de reconnaissance de l’égalité des droits civiques grâce à Martin Luther King et bien d’autres. De nos jours, le mouvement Black lives matter est signe qu’il reste encore et encore un long chemin à faire, dans l’ensemble des USA.
En Alabama, même la météo est violente, puisque c’est l’État des États-Unis où surviennent le plus grand nombre d’orages, avec son climat subtropical humide, et il est bien souvent au cœur des couloirs de tornades meurtrières, d’ouragans dévastateurs… C’est sa nature, et cela ne pourra malheureusement pas s’atténuer dans le futur.
Que Dieu me pardonne, je détestais l’Alabama. Je le haïssais !
L’Alabama était le pays où toute la misère du monde avait choisi d’élire domicile. C’était le pays où se donnaient rendez-vous toutes les haines, toutes les iniquités, toutes les bassesses humaines. Aucune région du globe ne mettait un tel point d’honneur à annihiler la vie d’un homme, à le rabaisser, à lui faire courber l’échine jusqu’à le contraindre à ramper à terre, éreinté, vaincu.
Et, pour tous ceux dont le malheur était de ne pas avoir la peau claire, l’Alabama était tout cela aussi, en pire. Pour eux, il déployait tout son ignoble talent, il déchaînait toute sa noirceur contenue, toute sa dureté réfrénée. Oh oui ! Pour eux, l’Alabama se surpassait.
« Il n’y a rien de pire au monde, ni de plus éprouvant pour un homme, que d’être pauvre. Excepté le fait d’être un nègre, naturellement » , disait mon père.
Ô combien il avait raison !
Trent Peterson Chestwood, dans Alabama, Alexis Arend
Alabama, Alexis Arend : un peu attirée par la musicalité du titre, un peu par les critiques élogieuses, un peu par l’inexplicable lien que je ressens avec ce coin déshérité, un peu grâce aux liens liés par les arts singuliers inventés dans ce coin des USA (Alabama Chanin, les Gee’s Bend), j’ai téléchargé ce livre… et cela m’a valu une nuit blanche débordant d’émotions.
Inutile de me le demander, non je ne vous raconterai pas l’histoire. Ce roman se lit très facilement, même si vous vous sentez submergé, parfois, d’émotions multiples et violentes.
La misère est un bien insidieux fléau. Elle est un mal sournois.
Les nègres et les chiens fonctionnent pour ainsi dire sur le même mode, ils ont les mêmes instincts, souviens-toi toujours de ça.
Mais on savoure quelques pages sublimes sur l’attachement à la famille, au pays, à l’amitié et, non moins important, sur le bonheur de la lecture.
Je veux que l’Alabama soit le pays que l’on mérite tous, Blancs comme Noirs. Une terre d’abondance ! Il a assez à offrir pour chacun de nous. Regarde autour de toi, regarde comme c’est beau, regarde comme c’est riche !
Tu vois, quand je me plonge dans un roman, c’est un autre monde qui s’ouvre devant moi, je suis ailleurs, je vis d’autres vies, je découvre d’autres endroits, je rencontre d’autres personnes. Je les côtoie dans ma tête, guidé par tous ces mots et toutes ces phrases qui s’alignent et me racontent quelque chose.
L’esprit de Mark Twain est pleinement dans Alabama, à la fois par l’amitié de deux garçons proches mais différents, et, j’ose l’avancer, par la qualité d’écriture ! L’immense talent de Twain est trop peu reconnu en France, je vous propose de le redécouvrir et de lire cet article où je lui rends modestement hommage. Il fut d’ailleurs un protecteur et ami d’Helen Keller, dont l’histoire m’avait tellement touchée enfant… Tiens, elle est née en Alabama et elle aussi est alignée avec ce qui se dégage du roman d’Alexis Arend.
Le meilleur aboutissement de l’éducation est la tolérance.
Helen Keller
Alabama d’Alexis Arend : ce roman se trouve sous format papier ou numérique (FNAC, Amazon…). J’imagine qu’un éditeur va se précipiter sur cette pépite auto-éditée… Profitez-en, avant que son prix ne monte !
Depuis déjà 7 ans, je vous montre des pine cone quilts sur ce blog ; pas de hasard, c’est le bloc de patchwork officiel de l’Alabama, en raison des quilteuses de Gee’s Bend et leur héritage afro-américain, dont fait partie cette technique particulière !
Alabama Forever, envers et contre tout !
Katell
Voyage textile : African Sun en Floride
Le recyclage de tissus est une nécessité depuis la nuit des temps ; ce n’est que depuis quelques décennies qu’on se permet de jeter des bouts qui ne sont pas complètement usés, et encore, seulement dans certains foyers. Chez les quilteuses, on fait tourner le commerce des tissus mais on recycle aussi ! Quand on allie bouts de tissus et chaîne d’amitié, c’est le bonheur, et en bonus sont apparues des coïncidences qui n’en sont sans doute pas…
Ma très chère Betty est de nouveau au cœur de l’histoire d’aujourd’hui. Ses premiers pine cone quilts étaient faits de divers tissus comme du linge de maison et des restes de partout, puis elle a acheté des harmonies de tissus de patchwork pour tous ses autres quilts. Curieusement, dans son État, la Floride, elle ne trouve quasiment pas d’authentique tissu africain en wax – plutôt des inspirations faites dans les Caraïbes, mais ce n’est pas pareil ! Et quand elle était venue en France, elle m’avait dit qu’elle aimerait bien avoir des chutes de ces tissus que nous affectionnons nous aussi…
Nous sommes quatre Abeilles à, soit avoir vécu en Afrique noire, soit y avoir de la famille, et nous avons de beaux souvenirs liés aux personnes qui y vivent. et bien sûr un attachement à ces tissus hauts en couleurs, dont nous conservons le moindre bout. A présent, c’est surtout Andrée qui nous fournit : grâce à sa belle-fille, nous avons reçu, ces dernières années, beaucoup de petits et grands métrages du Cameroun, trouvés chez des couturières de Yaoundé.
L’entrée dans une nouvelle décennie, ça se fête ! Betty a franchi un cap (qu’on digère parfois un peu difficilement !) ce printemps. Notre cadeau d’anniversaire, fait de métrages et de chutes de Wax du Cameroun, était accompagné d’une carte signée de nous toutes, illustrée d’un quilt de mon autre Sister américaine, LeeAnn. Il a tardé à partir en raison du confinement mais est finalement bien arrivé en Floride le 2 juin. Dès lors, Betty a eu de nouveau la fièvre du pine-cone avec un travail soutenu chaque jour – ni le temps, souvent tempétueux, ni ses crises de goutte, ni le covid ne l’incitaient à sortir de chez elle…
Fièvre du découpage de centaines de carrés, puis choix d’un bon drap pour le fond :
De nombreux souvenirs lui sont remontés à la surface en touchant ces tissus : son séjour en France en 2018, mais aussi ceux en Afrique de l’Ouest en 1986 et en 2009. Trois continents liés par des liens complexes historiquement, mais tout beaux et simples pour nous : fibres textiles et fibres amicales forment notre étoffe unique ! Et un nouveau pine cone quilt voit le jour, grandit et s’épanouit sous les doigts de Betty :
Toujours plus beau, au fil des jours !
Pour la première fois, Betty choisit de terminer son Pine cone quilt en forme de rond, comme nous en avions faits ici ; nous les lui avions montrés et elle avait beaucoup aimé !
C’est drôle de voir qu’on dirait des tartes, des quiches, des pizzas ! Mais non, ce sont nos chers pine-cones ! Et voici donc celui de Betty, en cours de finition :
Fini !
Le dernier fil coupé, Betty se sentit apaisée, avec un sentiment d’accomplissement et de plénitude. Ce n’est qu’en demandant à son mari la date du jour qu’elle fit le rapprochement : ses amies de France lui avaient envoyé ces tissus pour son anniversaire, et elle a terminé ce quilt le jour-même de l’anniversaire de sa chère maman trop tôt disparue… elle sentait sa bienveillante « présence » approuvant l’union de l’Europe, l’Afrique et l’Amérique par le biais de l’amour des textiles…
Ce que Betty ignorait, c’est que ce jour-là, j’ai parlé plusieurs fois d’elle, on me demandait de ses nouvelles, car elle laissa un souvenir impérissable en Occitanie ! Le 27 juin était aussi le jour de notre exposition à Lacaze… Ces coïncidences ne doivent sans doute rien au hasard, les connexions par-delà le temps et l’espace sont fréquentes entre nous !
Après ce soleil rayonnant d’émotions, nous verrons des quilts solidaires dans le prochain article.
En attendant, quiltez de tout votre cœur !
Katell
Le poids du Corona 2020
Aux USA, faire un quilt sur commande est chose relativement courante quand on est reconnu(e) artiste de talent. Betty, spécialiste des Pine Cone quilts, en a déjà vendu plusieurs. Cette fois-ci la cliente avait quelques exigences, ce qu’a accepté notre amie.
C’est peut-être chez les artisans qu’il faut chercher
les preuves les plus admirables de la sagacité de l’esprit,
de sa patience et de ses ressources.
Denis Diderot – L’Encyclopédie
C’était en décembre : Betty m’écrit qu’enfin, son Corona 2020 était fini ! Je lui ai demandé de ne pas oublier de le mesurer et le peser avant l’envoi. C’est chose faite, ce nouveau « bébé » mesure 260 x 265 cm et pèse… 23,5 kg !!
Ce quilt rejoindra donc la collection d’une artiste qui a déjà acheté un Pine Cone quilt à Betty (le vert). Cette femme est spécialisée dans l’expression artistique textile des afro-américaines et elle apprécie le travail extraordinaire de Betty à sa juste valeur. Vous pouvez voir ici la biographie de Dr. Carolyn Mazloomi et les 12 livres qu’elles a écrits par ici. Sans avoir la moindre idée de l’auteure, j’avais présenté un de ses livres par ici, je l’avais acheté, lu et bien apprécié, puis offert à une amie… Un livre très riche et documenté.
Dr. Carolyn Mazloomi est une femme infatigable, quilteuse elle-même, qui mena de front sa passion du patchwork, de l’Histoire des femmes afro-américaines, de la promotion des ouvrages d’art avec une carrière d’ingénieure aérospatiale en étant investigatrice aux crash tests à la NASA. Avez-vous vu le film Les Figures de l’Ombre ? Elle a succédé à ces héroïnes !
Je vous propose aussi de (re)lire l’article Les Femmes et l’Espace…
Félicitations à Betty !
Katell
Je dédie cet article à Anne-Marie, qui reçut si bien Betty à Bézac. Toutes mes sincères condoléances, mon amie.